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photographe de l'instant

Ma photo
Conducteur offset en imprimerie, je suis passionné d'images et selon moi, Comme un peintre, chacune d'elles doit avoir une part de créativité…

ECOSSE

L' Ecosse est restée encore un pays à la beauté très sauvage,
d'innombrables lacs et châteaux mystérieux aiment se découvrir au fil des kilomètres …mais attention les Midges"sauvages",de" monstrueux" petits moustiques ,sont là surtout entre le mois de juin et d'août et ils attaquent dur notre  peau sensible. Le remède le plus efficace pour y échapper est le vent, car là où il se trouve, pas de petit monstre!!!. donc là on peut comprendre que faire une belle image dans cette période peu devenir un acte de bravoure.

le château d' Eilean Donan Castle

LES ÉTATS UNIS

San Fransisco ville très cosmopolite ou il fait bon de se promener au gré de ses collines et de ses rues de style victorien.le cable car est un moyen de transport typique vous permettant de visiter très facilement tous les lieux touristiques de cette mègalopole

le Golden Gate bridge

le Grand canyon du colorado

LA TANZANIE ET LE KENYA

faune et paysage . langue parlée "le swahili"
La photographie animalière et de nature est un sujet inépuisable
 avec un regard qui est  propre à chacun de nous. pour moi le Kenya et la Tanzanie sont mes sujets favoris , car la, pas besoin d'affût . il faut observer et profiter du hasard d'une rencontre, être humble, visiter au rythme de la nature et saisir l'instant présent .

Le Kenya et la Tanzanie sont deux pays d’Afrique Orientale qui abritent quelques grands espaces naturels protégés, riches d’une faune diversifiée, et ce malgré une démographie galopante toujours en quête d’espace pouvant accueillir agriculture et élevage du bétail. L’unique remède à la sauvegarde de ces espaces… faire comprendre à la population l’inestimable richesse dont elle est dépositaire. 


Des routes poussérieuses et fortement cahoteuses nous emmènent à la découverte du cratère du N’Gorongoro (classé au patrimoine mondial de l’Unesco), des régions du Serengeti, et du Masai Mara (scène d’une des plus grandes migrations terrestre), des lacs de Nakuru, Baringo, Bogoria (où s’ébattent plusieurs centaine de milliers de flamants roses), de la réserve de Samburu (caractérisée par la présence de plusieurs espèces endémiques), du parc d’Amboseli et son mythique Kilimanjaro, ainsi que du parc Tarangire et ses typiques baobabs.


Nous avons traversé des paysages, exaltés par les sons et parfums de la savane. Nous avons contemplé ce spectacle de la vie, imaginant l’arche de Noé, vision d’un monde tel qui l’était au commencement. Des aventures pleines d’anecdotes aux rencontres inattendues avec les animaux, tous nos sens ont été mis à l’épreuve.


Les années passent, et ma connaissance de l'Afrique, des africains, des animaux, des parcs et même du swahili (langue parlée dans ces deux pays) s'approfondie. 


Face à mes désirs, un briefing avec les guides, assez ferme parfois, est nécessaire. Certains comportements méritent que nous nous en souvenions : il y a eu l'année de la coupe du monde de football, un guide grand amateur du ballon rond qui trouvait toujours un prétexte pour suivre les matchs. Mais aussi le guide, bon chauffeur, mais qui ne connaissait absolument pas certains parcs. Le guide "cow-boy", si mauvais conducteur qu’il en devenait dangereux (Il a réussi à nous embourber dans les marais au milieu d'éléphants placides mais impressionnants). Le guide "radio à gogo" qui nous a franchement saoulé avec ses "Kilo Kilo" (c'est le nom d'un pote !). Le guide qui n'arrivait pas à se lever le matin, et nous partions parfois alors que le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Le guide mal poli et bientôt à la retraite, bien décidé à ne pas suivre le programme et à n'en faire qu'à sa tête. Et enfin le guide "très fatigué" qui m'a laissé conduire le 4 x 4 dans les gorges d'Olduvaï en Tanzanie pour qu'il puisse se reposer. Cela fait partie de l'aventure ! C'est l'Afrique hors des sentiers battus ! Nous avons pu rire de toutes ces situations traversées une fois notre colère disparue, bien sûr ! En tout cas, aucun des problèmes rencontrés ne nous ont empêché d'apprécier chaque instant passé dans la savane en compagnie des animaux.



Nous n’avons en général jamais été déçus par les 4 X 4. Dans ce genre de véhicule, indispensable pour les terrains accidentés et confortable pour la prise de vue, nous sommes seuls avec notre guide. Nous avons donc cet avantage de rester le temps qu'il faut pour l'observation, l'écoute et la photographie. 

La faune africaine est à mon sens, plus facilement accessible en comparaison d'autres espèces animales dans le monde.. J'aime composer avec les animaux et les paysages, palettes infinies de couleurs. J'essaye d'immortaliser les atmosphères douces, parfois peu ensoleillées, mais cependant si lumineuses que nous offre la savane.


Je n'aime pas la traque. Je ne "chasse" pas. mes plus beaux face-à-face avec les animaux ont souvent été le fruit du hasard. Mais une bonne connaissance de ceux-ci, de leur comportement et de leur territoire m'a beaucoup facilité la tâche pour aller à leur rencontre.


Un vol en ballon au levé du jour au-dessus du parc de Masaï Mara nous a fait apprécier toutes les splendeurs de ces immensités. Et de surprendre gnous, zèbres, gazelles, lions, éléphants ailleurs que dans un 4 x 4 est tout simplement excitant !


Les journées sont organisées de différentes manières. partir très tôt le matin vers 6h00, idéal pour participer au réveil de la savane, avec retour au camping ou au lodge vers 10h00, et reprendre le safari l'après-midi vers 15h30 jusqu'à 18h30. Il nous arrive également de partir pour toute la journée car les sites que nous souhaitons visiter ne sont pas toujours situés à proximité de notre lieu d'hébergement.


Notre souci majeur est de nous éloigner le plus des hordes de minibus, cauchemar des animaux et des photographes !!! Il est hors de question pour nous de suivre ces véhicules, roulant à toute allure en direction d'un "spot". L'image de la maman guépard et de ses cinq petits apeurés, entourés d'une trentaine de minibus et de 4 x 4 nous a profondément touché et scandalisé. Nous sommes écoeurés de voir à quel point les safaris ont été banalisés. Devant le comportement irresponsable et le manque de discrétion de certains touristes, nous n'avons comme seule solution que de les fuir, et d'espérer qu'un jour les autorités ainsi que tous les intervenants élaborent une politique plus ferme, obligeant à plus de respect envers l'animal et son environnement (C'est notre coup de gueule !…).


Le B.A.BA de la photographie sur le terrain : Silence (moteur du véhicule éteint), discrétion, observation.   

Le 500 mm s'avère indispensable dans beaucoup de situations. Bien sûr lorsque l'animal est trop éloigné, et qu'il est impossible pour nous de nous en approcher. Mais aussi afin de ne pas le déranger. Cet objectif m'a été très utile lors de l'observation de la traversée de la rivière Mara par des centaines de gnous. Trop nous avancer vers eux aurait sans aucun doute stoppé leur marche. De même que pour le guépard, animal très fragile, et dont une observation trop rapprochée pourrait perturber le comportement (notamment lors d'une chasse). Surprendre avec discrétion un clan de lionnes et leurs petits, espionner un léopard étendu nonchalamment sur la branche d'un arbre : le silence est alors de rigueur, et la photo n'en sera que plus belle et plus authentique sans le regard de l'animal dirigé vers l'objectif.


partir à pied, à la rencontre des rhinocéros blancs… Ces milliers de flamants roses sur les berges des lacs Nakuru et Bogoria, et sur l'eau, les pélicans, qui, dans une nage synchronisée, tentaient de rassembler les poissons… Ce soleil couchant sur fond de ciel gris, avec cette savane brûlée parsemée d'acacias, sur laquelle évoluaient gnous et zèbres et soudain, l'orage… Cet éléphant au parc de Samburu, attiré par la pelouse du logde sans cesse arrosée, et qui malgré les cailloux lancés par les gardes, ne s'est pas gêné pour se promener à côté de notre bungalow…Cette maman guépard et ses trois petits, si petits !… Ces familles d'éléphants, toujours au parc de Samburu, que nous observions, tous les matins, descendre des collines pour traverser la rivière, et que nous attendions toutes les fins d'après-midi, pour les regarder de nouveau retraverser la rivière pour rejoindre leur quartier de nuit…Ce lion qui a ronronné toute la nuit à côté de notre tente, dans le parc du Tarangire… Et cet éléphant, toujours dans le même parc, qui s'est invité à la terrasse du lodge… Les hyènes qui ont fait la vaisselle, en nettoyant dans la nuit, les casseroles que les cuisiniers avaient laissées dehors, au camping dans le cratère du N'Gorongoro…  Et j'en passe !…

Nous avons traversé des paysages, exaltés par les sons et parfums de la savane. Nous avons contemplé ce spectacle de la vie, imaginant l’arche de Noé, vision d’un monde tel qui l’était au commencement. Des aventures pleines d’anecdotes aux rencontres inattendues avec les animaux, tous nos sens ont été mis à l’épreuve.


Je veux par ces photos prises au cours de plusieurs séjours en Afrique orientale, où j’ai eu le privilège d’assister à de bons moments de l’histoire naturel, souligner la fragile beauté d’un monde où la vie sauvage a de moins en moins de place. Sans aucune prétention, l’aspect pédagogique a pour moi énormément d’importance. Nous avons beaucoup appris et avons améliorer notre comportement. Une politique réfléchie et respectueuse peut être très bénéfique dans beaucoup de domaine. Quelque soit le pays, il faut réapprendre ce que notre monde moderne nous a fait oublié : l’émerveillement face à ce que la nature nous offre gracieusement . Chaque pays doit oeuvrer dans ce domaine, 


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Je terminerai par cette citation de Romain GARY «Lettre à l’éléphant».


«Il n’est pas douteux que votre disparition signifiera le commencement d’un monde entièrement fait pour l’homme. Mais laissez-moi vous dire mon vieil ami, dans un monde entièrement fait pour 

l’homme, il se pourrait bien qu’il n’y ait pas non plus place pour l’homme.»




KENYA

KENYA
gnous dans le masai mara avant l'orage

dans le cratère du N'gorongoro
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n'hésitez pas à me contacter :
guiouche at orange.fr

"SIMBA"

Gnous et arbre à Vautour

ici l'effet très "tableau" est dû en parti a l' interprétation du négatif  et à une touche personnelle de ma composition. pour moi il faut donner une part de créativité a nos images.

Cette image prise dans le parc du Serengeti "plaines infinis" que j'ai intitulé  simplement "un zèbre parmi les Gnous", est une image forte de ce que la nature peu offrir en matière de composition. cet animal qui pourrait passer pour banal devient ici le sujet principal de la photo


aigle dans le parc de Méru
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